Définition coercition
Citations
Synonymes
Définition
Coercition (Nom commun)
[ko.ɛʁ.si.sjɔ̃] / Féminin
- (Droit) Droit qu’on a d’empêcher quelqu’un d’agir contre son devoir ou de le contraindre à faire son devoir.
- (Par extension) Action exercée contre quelqu’un pour le forcer à agir ou l’amener à s’en abstenir.
Informations complémentaires
Le mot « coercition » désigne l’action d’exercer une contrainte ou une pression sur une personne ou un groupe afin de les contraindre à agir ou à se conformer à une règle, une loi ou une décision. Issu du latin coercitio, signifiant « réprimer » ou « contenir », le terme évoque une forme d’autorité imposée par la force, la menace ou par des moyens juridiques ou psychologiques.
Dans le domaine juridique, la coercition est un principe fondamental lié à l’application des lois. Les autorités publiques, telles que la justice ou la police, disposent d’un pouvoir de coercition pour assurer le respect des règles et l’ordre public. Par exemple, lorsqu’un individu refuse de se conformer à une décision de justice, des mesures coercitives, comme des amendes ou des sanctions, peuvent être appliquées pour l’obliger à obéir.
En sociologie et en politique, la coercition est souvent analysée comme un outil utilisé par les États ou les groupes de pouvoir pour maintenir leur autorité. Cela peut inclure des actions telles que la répression des manifestations, l’utilisation de lois restrictives ou des contraintes économiques imposées à des populations. Toutefois, la coercition peut être controversée, car elle pose la question des libertés individuelles face à l’autorité.
Sur le plan psychologique, la coercition désigne une pression exercée sur une personne pour l’amener à se conformer à une attente ou à un ordre. Cette contrainte peut prendre la forme de manipulation mentale, d’intimidation ou d’influence excessive. Par exemple, dans des relations abusives, un individu peut subir une coercition psychologique qui limite sa capacité à agir librement ou à exprimer son propre consentement.
Dans le domaine des relations internationales, la coercition peut désigner des stratégies de pression exercées par un État sur un autre pour obtenir un comportement souhaité. Cela peut inclure des sanctions économiques, des blocus commerciaux ou même des menaces militaires. La coercition est alors perçue comme un moyen de contrôle, visant à forcer une nation à adopter certaines politiques ou à abandonner des actions jugées nuisibles.
Le mot coercition est également utilisé dans des contextes où il est nécessaire d’imposer une discipline ou un cadre rigide. Par exemple, dans un environnement éducatif ou professionnel, certaines formes de coercition douce, telles que des règlements stricts ou des punitions, peuvent être appliquées pour maintenir l’ordre ou encourager un comportement adéquat. Toutefois, ces pratiques sont souvent débattues quant à leur efficacité et leur impact éthique.
En conclusion, la coercition représente une contrainte exercée par une autorité ou un individu pour obtenir un résultat, souvent en limitant la liberté d’autrui. Si elle peut être nécessaire dans certains contextes, comme pour assurer le respect des lois ou maintenir un cadre structuré, elle suscite également des débats sur ses limites, sa légitimité et ses conséquences sur les libertés individuelles.
Dans le domaine juridique, la coercition est un principe fondamental lié à l’application des lois. Les autorités publiques, telles que la justice ou la police, disposent d’un pouvoir de coercition pour assurer le respect des règles et l’ordre public. Par exemple, lorsqu’un individu refuse de se conformer à une décision de justice, des mesures coercitives, comme des amendes ou des sanctions, peuvent être appliquées pour l’obliger à obéir.
En sociologie et en politique, la coercition est souvent analysée comme un outil utilisé par les États ou les groupes de pouvoir pour maintenir leur autorité. Cela peut inclure des actions telles que la répression des manifestations, l’utilisation de lois restrictives ou des contraintes économiques imposées à des populations. Toutefois, la coercition peut être controversée, car elle pose la question des libertés individuelles face à l’autorité.
Sur le plan psychologique, la coercition désigne une pression exercée sur une personne pour l’amener à se conformer à une attente ou à un ordre. Cette contrainte peut prendre la forme de manipulation mentale, d’intimidation ou d’influence excessive. Par exemple, dans des relations abusives, un individu peut subir une coercition psychologique qui limite sa capacité à agir librement ou à exprimer son propre consentement.
Dans le domaine des relations internationales, la coercition peut désigner des stratégies de pression exercées par un État sur un autre pour obtenir un comportement souhaité. Cela peut inclure des sanctions économiques, des blocus commerciaux ou même des menaces militaires. La coercition est alors perçue comme un moyen de contrôle, visant à forcer une nation à adopter certaines politiques ou à abandonner des actions jugées nuisibles.
Le mot coercition est également utilisé dans des contextes où il est nécessaire d’imposer une discipline ou un cadre rigide. Par exemple, dans un environnement éducatif ou professionnel, certaines formes de coercition douce, telles que des règlements stricts ou des punitions, peuvent être appliquées pour maintenir l’ordre ou encourager un comportement adéquat. Toutefois, ces pratiques sont souvent débattues quant à leur efficacité et leur impact éthique.
En conclusion, la coercition représente une contrainte exercée par une autorité ou un individu pour obtenir un résultat, souvent en limitant la liberté d’autrui. Si elle peut être nécessaire dans certains contextes, comme pour assurer le respect des lois ou maintenir un cadre structuré, elle suscite également des débats sur ses limites, sa légitimité et ses conséquences sur les libertés individuelles.