Définition infamie
Citations
Synonymes
Définition
Infamie (Nom commun)
[ɛ̃.fa.mi] / Féminin
- Flétrissure imprimée à l’honneur, à la réputation, soit par la loi, soit par l’opinion publique.
- Caractère déshonorant, honteux, vil, d’une chose, d’un acte.
- Action déshonorante, honteuse.
- (Au pluriel) Parole injurieuse à l’honneur, à la réputation.
Informations complémentaires
Le mot "infamie" désigne une action, une conduite ou un état qui entraîne une profonde déshonneur ou une atteinte grave à la réputation. Issu du latin infamia, qui signifie "perte de réputation" ou "honte", ce terme évoque des actes jugés particulièrement honteux ou moralement condamnables par la société. L’infamie touche autant la personne ou l’entité qui la subit que celle qui en est responsable.
Dans son sens juridique historique, l’infamie était une sanction sociale infligée à ceux ayant commis des actes répréhensibles, tels que des crimes graves ou des comportements déshonorants. À l’époque romaine, l’infamie entraînait une perte de certains droits civiques, comme le droit de témoigner en justice ou d’exercer des fonctions publiques. Cette notion a évolué avec le temps pour devenir plus symbolique dans le droit moderne.
L’infamie peut également désigner une action ou un événement marquant par son caractère immoral ou scandaleux. Dans ce sens, elle est souvent utilisée pour qualifier des actes de trahison, de cruauté ou de corruption qui provoquent une indignation générale. Par exemple, des trahisons historiques célèbres ou des crimes particulièrement odieux sont souvent qualifiés d’infamies dans le discours collectif.
Sur le plan littéraire, le mot "infamie" est chargé d’émotion et de dramaturgie. Il est utilisé pour décrire des situations de grande disgrâce ou des personnages marqués par une faute irréparable. Dans des œuvres classiques, l’infamie est souvent associée à une tragédie personnelle ou sociale, où le héros doit affronter les conséquences de ses actes ou de son déshonneur.
Dans la vie quotidienne, "infamie" est parfois utilisé de manière hyperbolique pour dénoncer une injustice ou une insulte perçue comme particulièrement grave. Par exemple, une décision considérée comme profondément injuste ou une trahison personnelle peut être qualifiée d’infamie. Ce terme, bien que fort, conserve une nuance d’élégance dans son usage, rappelant son ancrage dans un langage riche et littéraire.
Sur le plan symbolique, l’infamie est souvent associée à l’idée de souillure ou de marque indélébile. Une personne frappée d’infamie porte souvent une "stigmatisation sociale" qui peut être difficile à effacer. Cette notion met en lumière la force des jugements collectifs dans la construction de l’honneur ou du déshonneur dans les communautés humaines.
En résumé, "infamie" est un mot puissant qui incarne des notions de honte, de déshonneur et de condamnation sociale. Qu’il soit utilisé dans un contexte historique, littéraire ou courant, ce terme évoque des actes ou des états profondément marquants, souvent irréparables. Son poids symbolique rappelle l’importance des valeurs morales et des conséquences de nos actions sur notre réputation et notre place dans la société.
Dans son sens juridique historique, l’infamie était une sanction sociale infligée à ceux ayant commis des actes répréhensibles, tels que des crimes graves ou des comportements déshonorants. À l’époque romaine, l’infamie entraînait une perte de certains droits civiques, comme le droit de témoigner en justice ou d’exercer des fonctions publiques. Cette notion a évolué avec le temps pour devenir plus symbolique dans le droit moderne.
L’infamie peut également désigner une action ou un événement marquant par son caractère immoral ou scandaleux. Dans ce sens, elle est souvent utilisée pour qualifier des actes de trahison, de cruauté ou de corruption qui provoquent une indignation générale. Par exemple, des trahisons historiques célèbres ou des crimes particulièrement odieux sont souvent qualifiés d’infamies dans le discours collectif.
Sur le plan littéraire, le mot "infamie" est chargé d’émotion et de dramaturgie. Il est utilisé pour décrire des situations de grande disgrâce ou des personnages marqués par une faute irréparable. Dans des œuvres classiques, l’infamie est souvent associée à une tragédie personnelle ou sociale, où le héros doit affronter les conséquences de ses actes ou de son déshonneur.
Dans la vie quotidienne, "infamie" est parfois utilisé de manière hyperbolique pour dénoncer une injustice ou une insulte perçue comme particulièrement grave. Par exemple, une décision considérée comme profondément injuste ou une trahison personnelle peut être qualifiée d’infamie. Ce terme, bien que fort, conserve une nuance d’élégance dans son usage, rappelant son ancrage dans un langage riche et littéraire.
Sur le plan symbolique, l’infamie est souvent associée à l’idée de souillure ou de marque indélébile. Une personne frappée d’infamie porte souvent une "stigmatisation sociale" qui peut être difficile à effacer. Cette notion met en lumière la force des jugements collectifs dans la construction de l’honneur ou du déshonneur dans les communautés humaines.
En résumé, "infamie" est un mot puissant qui incarne des notions de honte, de déshonneur et de condamnation sociale. Qu’il soit utilisé dans un contexte historique, littéraire ou courant, ce terme évoque des actes ou des états profondément marquants, souvent irréparables. Son poids symbolique rappelle l’importance des valeurs morales et des conséquences de nos actions sur notre réputation et notre place dans la société.
