Définition arrivé
Citations
Synonymes
Définition
Arrivé (Adjectif)
[a.ʁi.ve] / Masculin
- Qui est arrivé.
- Qui réussit.
Arrivé (Nom commun)
[a.ʁi.ve] / Masculin
- Personne réussissant financièrement.
Informations complémentaires
Le mot arrivé peut désigner à la fois l'action d’atteindre un lieu et la position de celui qui est parvenu à un certain point, que ce soit physiquement, symboliquement ou socialement. Il est issu du verbe arriver, et porte en lui l’idée de fin de parcours, de transition entre un mouvement et un état, souvent associée à un but atteint ou à une situation nouvelle. C’est un mot simple, mais chargé de sens, utilisé dans une multitude de contextes.
Dans son usage le plus concret, l’arrivé est celui qui vient de parvenir à destination. Qu’il s’agisse d’un voyageur, d’un coureur, d’un invité ou d’un courrier, le terme souligne le moment où le déplacement cesse, où le mouvement trouve son terme. Dans ce sens, c’est un mot quotidien, presque banal, mais qui contient toujours une dimension de ponctuation, de basculement : quelque chose vient de s’achever, autre chose peut commencer.
Dans un cadre plus symbolique, être un arrivé signifie qu’on a réussi socialement, professionnellement ou financièrement. Le mot peut alors prendre une teinte ironique ou critique, car il est parfois utilisé pour désigner quelqu’un qui exhibe sa réussite avec suffisance. On dira d’un tel individu : "C’est un arrivé, il se prend pour quelqu’un", soulignant ainsi la distance entre l’ascension réelle et l’attitude qu’elle engendre. Le mot devient alors un jugement social, un miroir de l’arrogance ou de la prétention.
Mais au-delà de ces connotations, l’idée d’être arrivé peut aussi être positive et valorisante. Elle témoigne d’un effort accompli, d’un objectif atteint, d’un parcours mené à bien. On célèbre celui qui est arrivé après une longue route, après des difficultés, des efforts, des doutes. Il y a là une forme de reconnaissance, d’admiration ou de soulagement. L’arrivée n’est pas seulement un arrêt, c’est parfois l’aboutissement d’un rêve ou d’un projet.
Le mot arrivé est aussi étroitement lié à la notion de temps, car toute arrivée suppose un avant et un après. Il y a l’attente, le chemin, l’anticipation, puis le moment précis de l’arrivée, souvent chargé d’émotion. On peut arriver trop tôt, trop tard, juste à temps. Chaque arrivée modifie l’équilibre, transforme les rapports, marque un instant-clé dans une chronologie. Il y a quelque chose de dramatique ou de théâtral dans certaines arrivées, surtout lorsqu’elles sont inattendues ou décisives.
Dans le langage sportif, notamment dans les courses, l’arrivée est un moment crucial. C’est là que se joue la victoire, la défaite, le classement. L’arrivé devient celui qui franchit la ligne, parfois dans l’effort, parfois dans la gloire. Ce moment figé dans le temps est chargé de symboles, de souffrance, de dépassement de soi. Être l’arrivé, c’est alors être le témoin vivant d’un parcours achevé, un instant où le mouvement devient mémoire.
En littérature ou en narration, le mot peut être utilisé pour introduire un nouveau personnage, une tension, un événement déclencheur. L’arrivée d’un inconnu dans un récit bouleverse souvent l’ordre établi, amène des questions, réveille des conflits. C’est un mot de transition et d’impact, qui appelle une suite. L’arrivé, dans ce cadre, est celui qui change le cours des choses, simplement par sa présence.
En résumé, le mot arrivé désigne bien plus qu’un point fixe au bout d’un trajet. Il évoque la fin d’un mouvement, la réussite, la transformation, l’impact, ou parfois la prétention. C’est un mot à la croisée de l’espace, du temps, et du regard des autres, un mot de bilan autant que de commencement. Car chaque arrivé est aussi, d’une certaine manière, le départ d’autre chose.
Dans son usage le plus concret, l’arrivé est celui qui vient de parvenir à destination. Qu’il s’agisse d’un voyageur, d’un coureur, d’un invité ou d’un courrier, le terme souligne le moment où le déplacement cesse, où le mouvement trouve son terme. Dans ce sens, c’est un mot quotidien, presque banal, mais qui contient toujours une dimension de ponctuation, de basculement : quelque chose vient de s’achever, autre chose peut commencer.
Dans un cadre plus symbolique, être un arrivé signifie qu’on a réussi socialement, professionnellement ou financièrement. Le mot peut alors prendre une teinte ironique ou critique, car il est parfois utilisé pour désigner quelqu’un qui exhibe sa réussite avec suffisance. On dira d’un tel individu : "C’est un arrivé, il se prend pour quelqu’un", soulignant ainsi la distance entre l’ascension réelle et l’attitude qu’elle engendre. Le mot devient alors un jugement social, un miroir de l’arrogance ou de la prétention.
Mais au-delà de ces connotations, l’idée d’être arrivé peut aussi être positive et valorisante. Elle témoigne d’un effort accompli, d’un objectif atteint, d’un parcours mené à bien. On célèbre celui qui est arrivé après une longue route, après des difficultés, des efforts, des doutes. Il y a là une forme de reconnaissance, d’admiration ou de soulagement. L’arrivée n’est pas seulement un arrêt, c’est parfois l’aboutissement d’un rêve ou d’un projet.
Le mot arrivé est aussi étroitement lié à la notion de temps, car toute arrivée suppose un avant et un après. Il y a l’attente, le chemin, l’anticipation, puis le moment précis de l’arrivée, souvent chargé d’émotion. On peut arriver trop tôt, trop tard, juste à temps. Chaque arrivée modifie l’équilibre, transforme les rapports, marque un instant-clé dans une chronologie. Il y a quelque chose de dramatique ou de théâtral dans certaines arrivées, surtout lorsqu’elles sont inattendues ou décisives.
Dans le langage sportif, notamment dans les courses, l’arrivée est un moment crucial. C’est là que se joue la victoire, la défaite, le classement. L’arrivé devient celui qui franchit la ligne, parfois dans l’effort, parfois dans la gloire. Ce moment figé dans le temps est chargé de symboles, de souffrance, de dépassement de soi. Être l’arrivé, c’est alors être le témoin vivant d’un parcours achevé, un instant où le mouvement devient mémoire.
En littérature ou en narration, le mot peut être utilisé pour introduire un nouveau personnage, une tension, un événement déclencheur. L’arrivée d’un inconnu dans un récit bouleverse souvent l’ordre établi, amène des questions, réveille des conflits. C’est un mot de transition et d’impact, qui appelle une suite. L’arrivé, dans ce cadre, est celui qui change le cours des choses, simplement par sa présence.
En résumé, le mot arrivé désigne bien plus qu’un point fixe au bout d’un trajet. Il évoque la fin d’un mouvement, la réussite, la transformation, l’impact, ou parfois la prétention. C’est un mot à la croisée de l’espace, du temps, et du regard des autres, un mot de bilan autant que de commencement. Car chaque arrivé est aussi, d’une certaine manière, le départ d’autre chose.