Définition clémence
Citations
Synonymes
Définition
Clémence (Nom commun)
[kle.mɑ̃s] / Féminin
- Vertu qui consiste à pardonner les offenses et à modérer les châtiments en parlant de ceux qui disposent de l’autorité souveraine et par extension, de toute personne ayant un certain pouvoir.
- Douceur, modération.
Informations complémentaires
Le mot clémence désigne une disposition à la douceur, à l’indulgence ou à la bienveillance envers autrui, en particulier lorsqu’une situation appellerait à la sévérité ou à la rigueur. Issu du latin clementia, ce terme évoque une attitude empreinte de générosité et de magnanimité, souvent associée à des figures d’autorité ou de pouvoir, mais également applicable dans des relations personnelles ou morales. La clémence est perçue comme une vertu, symbolisant la capacité à transcender la vengeance ou le jugement strict pour agir avec humanité.
Dans un contexte juridique ou politique, clémence se réfère à la décision d’atténuer une peine ou de pardonner une faute, souvent en raison de circonstances particulières ou d’un désir de réconciliation. Par exemple, un dirigeant ou un juge peut accorder une clémence à un condamné, réduisant ainsi sa peine ou le graciant totalement. Ce geste, bien qu’il puisse être contesté par certains, est généralement vu comme un acte de sagesse et de compassion, reflétant une volonté de privilégier la rédemption à la punition.
En histoire, la clémence est fréquemment attribuée à des figures de pouvoir qui, dans des moments cruciaux, ont choisi de pardonner ou de se montrer indulgents envers leurs adversaires. Par exemple, l’empereur romain César était connu pour sa politique de clémence envers ses ennemis vaincus, une stratégie qui lui permettait de consolider son pouvoir tout en favorisant la paix. De tels actes sont souvent perçus comme des signes de grandeur d’âme et de leadership éclairé.
Dans les relations humaines, clémence s’exprime par une indulgence dans les jugements ou les comportements, notamment face aux erreurs ou aux fautes des autres. Elle peut se manifester dans des situations quotidiennes, où une personne choisit de passer outre un affront ou une offense pour maintenir une harmonie ou éviter un conflit. La clémence est alors synonyme de pardon et de compréhension, des qualités souvent valorisées pour renforcer les liens sociaux.
Sur un plan moral ou philosophique, la clémence est considérée comme une vertu qui dépasse la simple indulgence. Elle implique une réflexion sur la justice et la miséricorde, et sur la manière dont ces deux notions peuvent être équilibrées. Dans de nombreuses traditions religieuses, la clémence est exaltée comme un attribut divin ou une qualité essentielle à cultiver pour vivre en harmonie avec les autres. Elle reflète une aspiration à l’humanité dans sa forme la plus noble.
Dans un usage figuré, clémence peut également s’appliquer à des phénomènes naturels ou des situations qui se révèlent moins sévères ou intenses que prévu. Par exemple, on peut parler de la clémence du climat pour décrire un temps doux et agréable, ou de la clémence des circonstances pour évoquer des conditions moins difficiles qu’anticipées. Ce sens élargi souligne l’idée de répit ou d’allègement face à des attentes de dureté.
En résumé, clémence est un terme qui incarne à la fois une vertu humaine et une qualité universelle, associée à la douceur, au pardon et à la bienveillance. Qu’il s’agisse d’un geste de grâce dans le domaine juridique, d’une indulgence dans les relations personnelles, ou d’un adoucissement des circonstances, elle reflète une capacité à dépasser la rigueur pour privilégier l’humanité et l’harmonie.
Dans un contexte juridique ou politique, clémence se réfère à la décision d’atténuer une peine ou de pardonner une faute, souvent en raison de circonstances particulières ou d’un désir de réconciliation. Par exemple, un dirigeant ou un juge peut accorder une clémence à un condamné, réduisant ainsi sa peine ou le graciant totalement. Ce geste, bien qu’il puisse être contesté par certains, est généralement vu comme un acte de sagesse et de compassion, reflétant une volonté de privilégier la rédemption à la punition.
En histoire, la clémence est fréquemment attribuée à des figures de pouvoir qui, dans des moments cruciaux, ont choisi de pardonner ou de se montrer indulgents envers leurs adversaires. Par exemple, l’empereur romain César était connu pour sa politique de clémence envers ses ennemis vaincus, une stratégie qui lui permettait de consolider son pouvoir tout en favorisant la paix. De tels actes sont souvent perçus comme des signes de grandeur d’âme et de leadership éclairé.
Dans les relations humaines, clémence s’exprime par une indulgence dans les jugements ou les comportements, notamment face aux erreurs ou aux fautes des autres. Elle peut se manifester dans des situations quotidiennes, où une personne choisit de passer outre un affront ou une offense pour maintenir une harmonie ou éviter un conflit. La clémence est alors synonyme de pardon et de compréhension, des qualités souvent valorisées pour renforcer les liens sociaux.
Sur un plan moral ou philosophique, la clémence est considérée comme une vertu qui dépasse la simple indulgence. Elle implique une réflexion sur la justice et la miséricorde, et sur la manière dont ces deux notions peuvent être équilibrées. Dans de nombreuses traditions religieuses, la clémence est exaltée comme un attribut divin ou une qualité essentielle à cultiver pour vivre en harmonie avec les autres. Elle reflète une aspiration à l’humanité dans sa forme la plus noble.
Dans un usage figuré, clémence peut également s’appliquer à des phénomènes naturels ou des situations qui se révèlent moins sévères ou intenses que prévu. Par exemple, on peut parler de la clémence du climat pour décrire un temps doux et agréable, ou de la clémence des circonstances pour évoquer des conditions moins difficiles qu’anticipées. Ce sens élargi souligne l’idée de répit ou d’allègement face à des attentes de dureté.
En résumé, clémence est un terme qui incarne à la fois une vertu humaine et une qualité universelle, associée à la douceur, au pardon et à la bienveillance. Qu’il s’agisse d’un geste de grâce dans le domaine juridique, d’une indulgence dans les relations personnelles, ou d’un adoucissement des circonstances, elle reflète une capacité à dépasser la rigueur pour privilégier l’humanité et l’harmonie.