Définition enregistrer
Citations
Conjugaison
Synonymes
Définition
Enregistrer (Verbe)
[ɑ̃.ʁə.ʒis.tʁe] / Transitif 1er groupe
- Mettre, écrire quelque chose sur un registre, ou seulement en prendre note.
- (En particulier) Transcrire, ou seulement inscrire, mentionner un acte, un écrit dans des registres publics, formalité qui a principalement pour objet d’empêcher les antidates et les faux.
- Constater, noter, remarquer.
- (Dans l’ancienne législation) Faire l’enregistrement (d’une ordonnance).
- (En particulier) (Transports) Confier (un bagage) afin qu'il soit pesé et déposé dans la soute à bagages.
- Noter, par un fonctionnement automatique, des phénomènes physiques ou chimiques, en parlant de certains appareils.
Informations complémentaires
Le mot enregistrer désigne l’action de conserver une information, un son, une image ou une donnée, dans un support destiné à la garder en mémoire pour un usage futur. C’est un verbe qui implique à la fois une prise de conscience et un acte technique ou administratif, selon le contexte. Enregistrer, c’est fixer quelque chose qui passe, pour éviter qu’il ne s’efface, qu’il ne soit oublié, ou pour le rendre consultable plus tard. Le mot est utilisé aussi bien dans la vie quotidienne que dans des domaines très spécialisés comme le droit, la musique, l’informatique ou les médias.
Dans le domaine technologique, enregistrer consiste à capturer un son, une vidéo, une image ou un fichier, puis à le stocker sur un support numérique ou analogique. On enregistre une chanson en studio, un podcast, une émission télé, une visioconférence, ou même des données sur une clé USB. L’évolution des outils a rendu l’enregistrement accessible à tous : un simple smartphone permet aujourd’hui de capter et d’enregistrer des moments précieux, que ce soit pour le loisir, le travail ou la mémoire personnelle.
Dans un contexte administratif ou juridique, enregistrer signifie consigner officiellement une information dans un registre, pour lui donner une valeur légale ou réglementaire. On enregistre une naissance, un mariage, un contrat, une société. Ce type d’enregistrement crée une trace durable, reconnue par l’autorité compétente, et souvent exigée pour faire valoir des droits. C’est une formalité essentielle dans de nombreux domaines, qui marque la validation d’un fait ou d’un acte aux yeux de la loi.
Le mot s’utilise aussi dans un sens plus psychologique ou sensoriel : on peut enregistrer une information, un visage, une émotion, sans passer par une machine. C’est le cerveau qui "enregistre" : il garde en mémoire ce qui est vécu, entendu, vu ou ressenti. Ce sens-là se rapproche de celui de retenir, mémoriser, intégrer. On dira ainsi : "J’ai bien enregistré ce que tu m’as dit", pour signifier qu’on a compris et retenu l’information, parfois avec une nuance de sérieux ou d’engagement.
Dans la vie professionnelle ou artistique, le verbe enregistrer peut prendre une dimension très concrète et spécialisée. En musique, par exemple, enregistrer un album est une étape clé du processus de création : cela demande des conditions précises, un équipement adapté, et une maîtrise du son. En audiovisuel, l’enregistrement peut être en direct ou monté après coup. Dans tous les cas, il s’agit de fixer une performance éphémère pour la transformer en œuvre durable, consultable, diffusable et partageable.
En résumé, enregistrer, c’est transformer le moment en mémoire, qu’il s’agisse d’un fichier, d’un acte légal ou d’un souvenir. C’est une manière de résister à l’oubli, de structurer le monde, de créer des traces. Dans un monde saturé d’informations, l’enregistrement est partout, souvent invisible, mais fondamental. Il structure nos vies numériques, nos droits civils, nos souvenirs personnels. C’est un verbe à la fois technique, intime et symbolique, qui traverse les disciplines et les époques.
Dans le domaine technologique, enregistrer consiste à capturer un son, une vidéo, une image ou un fichier, puis à le stocker sur un support numérique ou analogique. On enregistre une chanson en studio, un podcast, une émission télé, une visioconférence, ou même des données sur une clé USB. L’évolution des outils a rendu l’enregistrement accessible à tous : un simple smartphone permet aujourd’hui de capter et d’enregistrer des moments précieux, que ce soit pour le loisir, le travail ou la mémoire personnelle.
Dans un contexte administratif ou juridique, enregistrer signifie consigner officiellement une information dans un registre, pour lui donner une valeur légale ou réglementaire. On enregistre une naissance, un mariage, un contrat, une société. Ce type d’enregistrement crée une trace durable, reconnue par l’autorité compétente, et souvent exigée pour faire valoir des droits. C’est une formalité essentielle dans de nombreux domaines, qui marque la validation d’un fait ou d’un acte aux yeux de la loi.
Le mot s’utilise aussi dans un sens plus psychologique ou sensoriel : on peut enregistrer une information, un visage, une émotion, sans passer par une machine. C’est le cerveau qui "enregistre" : il garde en mémoire ce qui est vécu, entendu, vu ou ressenti. Ce sens-là se rapproche de celui de retenir, mémoriser, intégrer. On dira ainsi : "J’ai bien enregistré ce que tu m’as dit", pour signifier qu’on a compris et retenu l’information, parfois avec une nuance de sérieux ou d’engagement.
Dans la vie professionnelle ou artistique, le verbe enregistrer peut prendre une dimension très concrète et spécialisée. En musique, par exemple, enregistrer un album est une étape clé du processus de création : cela demande des conditions précises, un équipement adapté, et une maîtrise du son. En audiovisuel, l’enregistrement peut être en direct ou monté après coup. Dans tous les cas, il s’agit de fixer une performance éphémère pour la transformer en œuvre durable, consultable, diffusable et partageable.
En résumé, enregistrer, c’est transformer le moment en mémoire, qu’il s’agisse d’un fichier, d’un acte légal ou d’un souvenir. C’est une manière de résister à l’oubli, de structurer le monde, de créer des traces. Dans un monde saturé d’informations, l’enregistrement est partout, souvent invisible, mais fondamental. Il structure nos vies numériques, nos droits civils, nos souvenirs personnels. C’est un verbe à la fois technique, intime et symbolique, qui traverse les disciplines et les époques.
