Définition joggeuse
Illustration(s) et photo(s) pour définir le mot joggeuse
Citations
Synonymes
Définition
Joggeuse (Nom commun)
Féminin (équivalent masculin: joggeur)
- Sportive qui fait du jogging.
Informations complémentaires
Le mot joggeuse désigne une femme qui pratique le jogging, une forme de course à pied modérée, souvent effectuée pour entretenir sa santé, son bien-être ou sa silhouette. C’est un terme simple, mais qui évoque immédiatement une image dynamique et libre, celle d’une femme en mouvement, en sueur peut-être, mais en lien avec son corps et son environnement. Courir devient ici plus qu’un exercice : un rituel personnel, une manière de se reconnecter à soi, de s’évader, de se dépasser ou simplement de respirer.
La joggeuse est souvent perçue dans l’espace public, que ce soit en ville, dans un parc, en bord de mer ou sur les chemins de campagne. Sa présence, autrefois rare, est aujourd’hui courante, symbole de l’autonomie féminine dans les activités sportives longtemps dominées par les hommes. Elle court seule ou en groupe, à l’aube ou au crépuscule, casque aux oreilles ou attentive aux sons du monde. Elle s’inscrit dans une culture de la performance douce, où l’objectif n’est pas nécessairement de battre des records, mais de persister, jour après jour.
La joggeuse est aussi une figure de résistance et de détermination, notamment dans un monde où les femmes sont parfois jugées, sexualisées ou importunées dans l’espace public. Courir, c’est alors affirmer une présence légitime, une liberté de circuler, une force tranquille. Certaines joggeuses ont d’ailleurs transformé leur pratique en acte militant, revendiquant le droit d’exister pleinement, sans être dérangées, et sans devoir justifier leur tenue, leur rythme ou leur présence.
Sur le plan plus personnel, être joggeuse, c’est souvent entrer dans une discipline de vie : organiser son emploi du temps, apprivoiser l’effort, écouter son corps, célébrer ses progrès. La course devient une école de volonté, où chaque foulée compte, chaque respiration s’accorde, chaque séance construit quelque chose de plus vaste que le simple fait de courir. C’est un dialogue intérieur, une habitude qui forge le mental autant que les muscles.
Mais la joggeuse n’est pas un stéréotype unique. Il en existe autant que de femmes qui courent : certaines sont jeunes, d’autres plus âgées ; certaines cherchent à perdre du poids, d’autres à se vider l’esprit ; certaines s'entraînent pour une course officielle, d’autres pour le plaisir pur du mouvement. Cette diversité témoigne de la richesse de cette figure contemporaine, de sa souplesse symbolique, capable d’englober mille façons de courir, d’être et de vivre.
La joggeuse incarne aussi une relation au corps positive, parfois réconciliée, parfois encore en tension. Courir permet de se sentir vivante, de se recentrer, de sentir la fatigue, la douleur, mais aussi l’endurance, la puissance, la progression. Il n’est pas rare qu’une joggeuse parle de course comme d’une forme de thérapie. Entre sueur, souffle et silence, elle libère ce que le quotidien retient, ce que les mots n’expriment pas toujours.
En somme, le mot joggeuse ne se limite pas à une description d’activité physique. Il porte en lui l’idée d’un mouvement autonome, d’un effort choisi, d’un chemin personnel. C’est un mot du présent, de l’énergie, de la liberté en marche. Il trace le portrait d’une femme qui avance à son rythme, dans un monde qui bouge, avec ses ombres et ses lumières. La joggeuse n’est pas qu’une silhouette sur un trottoir : elle est le symbole d’une volonté de se tenir debout, d’avancer et de respirer librement.
La joggeuse est souvent perçue dans l’espace public, que ce soit en ville, dans un parc, en bord de mer ou sur les chemins de campagne. Sa présence, autrefois rare, est aujourd’hui courante, symbole de l’autonomie féminine dans les activités sportives longtemps dominées par les hommes. Elle court seule ou en groupe, à l’aube ou au crépuscule, casque aux oreilles ou attentive aux sons du monde. Elle s’inscrit dans une culture de la performance douce, où l’objectif n’est pas nécessairement de battre des records, mais de persister, jour après jour.
La joggeuse est aussi une figure de résistance et de détermination, notamment dans un monde où les femmes sont parfois jugées, sexualisées ou importunées dans l’espace public. Courir, c’est alors affirmer une présence légitime, une liberté de circuler, une force tranquille. Certaines joggeuses ont d’ailleurs transformé leur pratique en acte militant, revendiquant le droit d’exister pleinement, sans être dérangées, et sans devoir justifier leur tenue, leur rythme ou leur présence.
Sur le plan plus personnel, être joggeuse, c’est souvent entrer dans une discipline de vie : organiser son emploi du temps, apprivoiser l’effort, écouter son corps, célébrer ses progrès. La course devient une école de volonté, où chaque foulée compte, chaque respiration s’accorde, chaque séance construit quelque chose de plus vaste que le simple fait de courir. C’est un dialogue intérieur, une habitude qui forge le mental autant que les muscles.
Mais la joggeuse n’est pas un stéréotype unique. Il en existe autant que de femmes qui courent : certaines sont jeunes, d’autres plus âgées ; certaines cherchent à perdre du poids, d’autres à se vider l’esprit ; certaines s'entraînent pour une course officielle, d’autres pour le plaisir pur du mouvement. Cette diversité témoigne de la richesse de cette figure contemporaine, de sa souplesse symbolique, capable d’englober mille façons de courir, d’être et de vivre.
La joggeuse incarne aussi une relation au corps positive, parfois réconciliée, parfois encore en tension. Courir permet de se sentir vivante, de se recentrer, de sentir la fatigue, la douleur, mais aussi l’endurance, la puissance, la progression. Il n’est pas rare qu’une joggeuse parle de course comme d’une forme de thérapie. Entre sueur, souffle et silence, elle libère ce que le quotidien retient, ce que les mots n’expriment pas toujours.
En somme, le mot joggeuse ne se limite pas à une description d’activité physique. Il porte en lui l’idée d’un mouvement autonome, d’un effort choisi, d’un chemin personnel. C’est un mot du présent, de l’énergie, de la liberté en marche. Il trace le portrait d’une femme qui avance à son rythme, dans un monde qui bouge, avec ses ombres et ses lumières. La joggeuse n’est pas qu’une silhouette sur un trottoir : elle est le symbole d’une volonté de se tenir debout, d’avancer et de respirer librement.