Définition moquerie
Citations
Synonymes
Définition
Moquerie (Nom commun)
[mɔ.kʁi] / Féminin
- Action de se moquer.
- (Par extension) Les paroles ou les actions par lesquelles on se moque.
Informations complémentaires
Le mot moquerie désigne une attitude ou une parole visant à tourner quelqu’un ou quelque chose en dérision, souvent avec une intention humoristique, critique ou méprisante. Il s’agit d’une forme d’expression qui peut être légère et affectueuse, mais aussi blessante et malveillante selon le contexte et l’intention de celui qui se moque.
Dans sa forme la plus courante, la moquerie est un jeu social, un moyen de plaisanter et d’interagir avec les autres. Beaucoup de cultures et d’amitiés intègrent des moqueries bienveillantes, où l’humour sert à renforcer les liens en se taquinant mutuellement. Dans ce cas, la moquerie repose sur une complicité et ne cherche pas à blesser, mais plutôt à amuser.
Toutefois, la moquerie peut aussi être une arme de dévalorisation utilisée pour rabaisser ou humilier une personne. Lorsqu’elle est répétée et malveillante, elle peut s’apparenter à du harcèlement, notamment en milieu scolaire ou professionnel. Se moquer de quelqu’un pour son apparence, son accent, son origine ou ses opinions peut provoquer un mal-être profond et laisser des séquelles psychologiques.
Dans le domaine de la littérature et de la satire, la moquerie est un outil puissant pour dénoncer les travers d’une société, d’un gouvernement ou d’une institution. De grands écrivains et humoristes, comme Molière, Voltaire ou plus récemment les caricaturistes, ont utilisé la moquerie pour critiquer les abus de pouvoir ou les absurdités de leur époque. Cette forme de moquerie repose souvent sur l’ironie et l’exagération pour faire réfléchir le public.
Sur les réseaux sociaux et dans les médias, la moquerie prend parfois une ampleur virale, notamment à travers des mèmes, des parodies ou des commentaires sarcastiques. Certaines moqueries peuvent être légères et drôles, mais d’autres deviennent de véritables campagnes de lynchage numérique, où l’anonymat encourage des critiques excessives et parfois destructrices.
Le mot moquerie évoque aussi une dimension plus philosophique sur le regard que l’on porte sur les autres et sur soi-même. Être capable d’accepter la moquerie avec recul et humour peut être une preuve d’auto-dérision et de confiance en soi. À l’inverse, une hypersensibilité aux moqueries peut révéler une blessure profonde ou un manque d’assurance.
Qu’elle soit légère ou cruelle, la moquerie est une forme d’expression ambivalente qui oscille entre le jeu social et la critique acérée. Elle peut être un moyen de rire ensemble ou de blesser, selon la manière dont elle est employée et la relation entre les interlocuteurs.
Dans sa forme la plus courante, la moquerie est un jeu social, un moyen de plaisanter et d’interagir avec les autres. Beaucoup de cultures et d’amitiés intègrent des moqueries bienveillantes, où l’humour sert à renforcer les liens en se taquinant mutuellement. Dans ce cas, la moquerie repose sur une complicité et ne cherche pas à blesser, mais plutôt à amuser.
Toutefois, la moquerie peut aussi être une arme de dévalorisation utilisée pour rabaisser ou humilier une personne. Lorsqu’elle est répétée et malveillante, elle peut s’apparenter à du harcèlement, notamment en milieu scolaire ou professionnel. Se moquer de quelqu’un pour son apparence, son accent, son origine ou ses opinions peut provoquer un mal-être profond et laisser des séquelles psychologiques.
Dans le domaine de la littérature et de la satire, la moquerie est un outil puissant pour dénoncer les travers d’une société, d’un gouvernement ou d’une institution. De grands écrivains et humoristes, comme Molière, Voltaire ou plus récemment les caricaturistes, ont utilisé la moquerie pour critiquer les abus de pouvoir ou les absurdités de leur époque. Cette forme de moquerie repose souvent sur l’ironie et l’exagération pour faire réfléchir le public.
Sur les réseaux sociaux et dans les médias, la moquerie prend parfois une ampleur virale, notamment à travers des mèmes, des parodies ou des commentaires sarcastiques. Certaines moqueries peuvent être légères et drôles, mais d’autres deviennent de véritables campagnes de lynchage numérique, où l’anonymat encourage des critiques excessives et parfois destructrices.
Le mot moquerie évoque aussi une dimension plus philosophique sur le regard que l’on porte sur les autres et sur soi-même. Être capable d’accepter la moquerie avec recul et humour peut être une preuve d’auto-dérision et de confiance en soi. À l’inverse, une hypersensibilité aux moqueries peut révéler une blessure profonde ou un manque d’assurance.
Qu’elle soit légère ou cruelle, la moquerie est une forme d’expression ambivalente qui oscille entre le jeu social et la critique acérée. Elle peut être un moyen de rire ensemble ou de blesser, selon la manière dont elle est employée et la relation entre les interlocuteurs.