Définition rejeter
Citations
Conjugaison
Synonymes
Définition
Rejeter (Verbe)
[rə.ʒə.te], [rəʒ.te] / Transitif 1er groupe
- Jeter de nouveau.
- Repousser ; renvoyer.
- Reporter ; renvoyer à un autre terme.
- Jeter une chose dans l’endroit d’où on l’avait tirée.
- Jeter dehors ; pousser hors de soi.
- (En particulier) Vomir.
- (Foresterie) Faire des rejets ,repousser après avoir été coupé, en parlant d’un arbre ou d’un arbuste.
- Mettre une chose en un endroit, après l’avoir ôtée de celui où elle était.
- (Figuré) Faire retomber.
- (Figuré) Repousser ; ne pas admettre ; ne pas vouloir recevoir.
- Repousser ou condamner, en parlant de personnes.
- Écarter ; éloigner.
- (Pronominal) Se reculer ; se porter en arrière.
- (Pronominal) (Figuré) Se reporter, faute de mieux, sur une autre chose.
Informations complémentaires
Le verbe rejeter signifie refuser, écarter ou ne pas accepter quelque chose ou quelqu’un. Il exprime une volonté de distance, qu’elle soit physique, émotionnelle ou intellectuelle. Le rejet peut être volontaire et conscient, comme lorsqu’on refuse une idée ou une proposition, mais il peut aussi être inconscient et instinctif, notamment dans les relations humaines ou les réactions émotionnelles. Il peut concerner une opinion, une personne, une situation ou même un sentiment.
Dans les relations sociales et humaines, le rejet est une expérience souvent douloureuse. Être rejeté par un groupe, un ami ou un proche peut engendrer un sentiment d’exclusion, de solitude et d’incompréhension. Le rejet social peut prendre différentes formes : il peut être direct, avec une rupture claire et affirmée, ou plus subtil, à travers l’ignorance, l’indifférence ou le manque d’attention. Certaines personnes sont rejetées en raison de leur apparence, de leurs opinions, de leur statut social ou de leur comportement, ce qui peut engendrer un profond mal-être et des difficultés à s’intégrer.
Sur le plan psychologique, le rejet peut provoquer des blessures émotionnelles importantes. L’être humain étant un être social par nature, le besoin d’appartenance est fondamental. Lorsqu’une personne est rejetée, elle peut ressentir une perte d’estime de soi et développer des mécanismes de défense, allant de l’isolement à l’agressivité. Certains rejets précoces, notamment dans l’enfance, peuvent avoir des répercussions durables, influençant la manière dont une personne perçoit ses relations et gère ses émotions.
Dans le domaine des idées et des opinions, rejeter signifie ne pas accepter ou ne pas adhérer à une proposition. Cela peut être un rejet rationnel, fondé sur des arguments et une analyse, ou un rejet instinctif, lié à des préjugés ou des croyances personnelles. Certaines personnes rejettent le changement, par crainte de l’inconnu, tandis que d’autres rejettent des traditions ou des valeurs qu’elles considèrent dépassées. Le rejet intellectuel peut être une forme de protection, mais il peut aussi être un frein à l’ouverture d’esprit et à l’évolution personnelle.
En droit et en politique, le rejet prend une signification plus formelle. Une loi, une demande ou une proposition peut être rejetée par une autorité compétente, comme un gouvernement, un tribunal ou une entreprise. Dans ce contexte, rejeter signifie invalider ou refuser une décision, souvent après un examen des arguments en faveur et en défaveur. Un rejet peut être justifié par des raisons légales, économiques ou morales, mais il peut aussi être contesté ou perçu comme une injustice par ceux qui en subissent les conséquences.
Dans un contexte scientifique et médical, rejeter peut aussi signifier ne pas accepter un élément extérieur. Le corps humain, par exemple, peut rejeter une greffe ou un traitement, ce qui entraîne des complications et nécessite une intervention spécifique. De manière plus large, les systèmes biologiques et les organismes vivants ont souvent des mécanismes de rejet pour se protéger contre les intrusions ou les éléments incompatibles.
En conclusion, rejeter exprime toujours une forme de refus ou d’exclusion, qu’il s’agisse d’une personne, d’une idée, d’une règle ou d’un élément physique. Le rejet peut être un mécanisme de défense, une prise de position réfléchie ou une simple réaction instinctive. Savoir gérer le rejet, qu’il soit subi ou infligé, est essentiel pour maintenir des relations saines et une ouverture d’esprit, car tout rejet a des conséquences sur ceux qui le subissent et sur l’environnement dans lequel il se produit.
Dans les relations sociales et humaines, le rejet est une expérience souvent douloureuse. Être rejeté par un groupe, un ami ou un proche peut engendrer un sentiment d’exclusion, de solitude et d’incompréhension. Le rejet social peut prendre différentes formes : il peut être direct, avec une rupture claire et affirmée, ou plus subtil, à travers l’ignorance, l’indifférence ou le manque d’attention. Certaines personnes sont rejetées en raison de leur apparence, de leurs opinions, de leur statut social ou de leur comportement, ce qui peut engendrer un profond mal-être et des difficultés à s’intégrer.
Sur le plan psychologique, le rejet peut provoquer des blessures émotionnelles importantes. L’être humain étant un être social par nature, le besoin d’appartenance est fondamental. Lorsqu’une personne est rejetée, elle peut ressentir une perte d’estime de soi et développer des mécanismes de défense, allant de l’isolement à l’agressivité. Certains rejets précoces, notamment dans l’enfance, peuvent avoir des répercussions durables, influençant la manière dont une personne perçoit ses relations et gère ses émotions.
Dans le domaine des idées et des opinions, rejeter signifie ne pas accepter ou ne pas adhérer à une proposition. Cela peut être un rejet rationnel, fondé sur des arguments et une analyse, ou un rejet instinctif, lié à des préjugés ou des croyances personnelles. Certaines personnes rejettent le changement, par crainte de l’inconnu, tandis que d’autres rejettent des traditions ou des valeurs qu’elles considèrent dépassées. Le rejet intellectuel peut être une forme de protection, mais il peut aussi être un frein à l’ouverture d’esprit et à l’évolution personnelle.
En droit et en politique, le rejet prend une signification plus formelle. Une loi, une demande ou une proposition peut être rejetée par une autorité compétente, comme un gouvernement, un tribunal ou une entreprise. Dans ce contexte, rejeter signifie invalider ou refuser une décision, souvent après un examen des arguments en faveur et en défaveur. Un rejet peut être justifié par des raisons légales, économiques ou morales, mais il peut aussi être contesté ou perçu comme une injustice par ceux qui en subissent les conséquences.
Dans un contexte scientifique et médical, rejeter peut aussi signifier ne pas accepter un élément extérieur. Le corps humain, par exemple, peut rejeter une greffe ou un traitement, ce qui entraîne des complications et nécessite une intervention spécifique. De manière plus large, les systèmes biologiques et les organismes vivants ont souvent des mécanismes de rejet pour se protéger contre les intrusions ou les éléments incompatibles.
En conclusion, rejeter exprime toujours une forme de refus ou d’exclusion, qu’il s’agisse d’une personne, d’une idée, d’une règle ou d’un élément physique. Le rejet peut être un mécanisme de défense, une prise de position réfléchie ou une simple réaction instinctive. Savoir gérer le rejet, qu’il soit subi ou infligé, est essentiel pour maintenir des relations saines et une ouverture d’esprit, car tout rejet a des conséquences sur ceux qui le subissent et sur l’environnement dans lequel il se produit.