Définition toréador
Citations
Synonymes
Définition
Toréador (Nom commun)
[tɔ.ʁe.a.dɔʁ] / Masculin
- (Vieilli) Celui qui combat les taureaux dans les courses publiques, toréro (terme qui le supplante).
Informations complémentaires
Le mot toréador désigne un personnage associé à la tauromachie, l'art de combattre les taureaux dans des arènes, pratiqué notamment en Espagne, au Portugal et dans certaines régions d'Amérique latine. Bien que souvent utilisé comme synonyme de matador, le terme toréador n’est pas réellement employé dans les traditions tauromachiques espagnoles. Il est issu de la littérature et des arts, popularisé par des œuvres comme l’opéra Carmen de Georges Bizet, où il évoque une figure romantique et héroïque.
Dans le contexte de la tauromachie, un toréador est généralement perçu comme un combattant élégant et charismatique, maîtrisant l’art de défier et de dominer un taureau dans une mise en scène codifiée. Sa tenue, richement ornée et colorée, appelée traje de luces (habit de lumières), fait partie intégrante de son allure spectaculaire. La performance du toréador est une danse subtile entre danger et maîtrise, où chaque geste est conçu pour captiver le public tout en démontrant son courage et sa dextérité.
L’image du toréador est souvent associée à des valeurs comme le courage, la fierté et l’honneur. Il incarne l’idéal romantique du héros qui affronte un adversaire puissant dans une lutte où la vie et la mort sont en jeu. Cette vision, largement diffusée par la littérature, la musique et les arts visuels, a contribué à l’iconographie de la culture espagnole, bien que la tauromachie soit aujourd’hui controversée.
Le terme toréador diffère de celui de matador, qui est le terme correct pour désigner le combattant principal dans une corrida. Le matador est chargé de porter l’estocade finale, tuant le taureau selon un rituel précis. Le mot toréador, quant à lui, est d’origine française et n’a pas de racines directes dans la terminologie tauromachique espagnole. Son emploi est donc davantage lié à des représentations culturelles ou artistiques qu’à la réalité de la corrida.
Dans la littérature et la musique, le toréador est une figure emblématique, souvent utilisée pour symboliser la passion, le danger et l’art du combat. L’opéra Carmen de Bizet, avec sa célèbre Chanson du toréador, a largement contribué à populariser cette image. Ce personnage romantique, séducteur et courageux, incarne une version idéalisée de la tauromachie, bien éloignée des controverses modernes autour de cette pratique.
Aujourd’hui, le mot toréador peut aussi être utilisé dans un sens figuré pour désigner une personne qui fait preuve de bravoure, de panache ou d’audace dans des situations difficiles. Ce glissement sémantique reflète l’admiration pour les qualités associées au personnage, même en dehors de son contexte d’origine.
En résumé, toréador est un terme chargé de connotations artistiques et symboliques, évoquant un combattant élégant et courageux dans l’univers de la tauromachie. Bien qu’il ne soit pas utilisé dans les traditions tauromachiques espagnoles, il demeure une figure emblématique dans l’imaginaire collectif, portée par la littérature, la musique et les arts.
Dans le contexte de la tauromachie, un toréador est généralement perçu comme un combattant élégant et charismatique, maîtrisant l’art de défier et de dominer un taureau dans une mise en scène codifiée. Sa tenue, richement ornée et colorée, appelée traje de luces (habit de lumières), fait partie intégrante de son allure spectaculaire. La performance du toréador est une danse subtile entre danger et maîtrise, où chaque geste est conçu pour captiver le public tout en démontrant son courage et sa dextérité.
L’image du toréador est souvent associée à des valeurs comme le courage, la fierté et l’honneur. Il incarne l’idéal romantique du héros qui affronte un adversaire puissant dans une lutte où la vie et la mort sont en jeu. Cette vision, largement diffusée par la littérature, la musique et les arts visuels, a contribué à l’iconographie de la culture espagnole, bien que la tauromachie soit aujourd’hui controversée.
Le terme toréador diffère de celui de matador, qui est le terme correct pour désigner le combattant principal dans une corrida. Le matador est chargé de porter l’estocade finale, tuant le taureau selon un rituel précis. Le mot toréador, quant à lui, est d’origine française et n’a pas de racines directes dans la terminologie tauromachique espagnole. Son emploi est donc davantage lié à des représentations culturelles ou artistiques qu’à la réalité de la corrida.
Dans la littérature et la musique, le toréador est une figure emblématique, souvent utilisée pour symboliser la passion, le danger et l’art du combat. L’opéra Carmen de Bizet, avec sa célèbre Chanson du toréador, a largement contribué à populariser cette image. Ce personnage romantique, séducteur et courageux, incarne une version idéalisée de la tauromachie, bien éloignée des controverses modernes autour de cette pratique.
Aujourd’hui, le mot toréador peut aussi être utilisé dans un sens figuré pour désigner une personne qui fait preuve de bravoure, de panache ou d’audace dans des situations difficiles. Ce glissement sémantique reflète l’admiration pour les qualités associées au personnage, même en dehors de son contexte d’origine.
En résumé, toréador est un terme chargé de connotations artistiques et symboliques, évoquant un combattant élégant et courageux dans l’univers de la tauromachie. Bien qu’il ne soit pas utilisé dans les traditions tauromachiques espagnoles, il demeure une figure emblématique dans l’imaginaire collectif, portée par la littérature, la musique et les arts.