Définition vulgarité
Citations
Synonymes
Définition
Vulgarité (Nom commun)
[vyl.ɡa.ʁi.te] / Féminin
- Caractère ou défaut de ce qui est vulgaire ou trivial.
- (Soutenu) Mot qui est vulgaire, grossier.
Informations complémentaires
Le mot vulgarité désigne une attitude, un langage ou une apparence perçus comme grossiers, indécents ou manquant de raffinement. Il peut être utilisé pour critiquer une manière de parler, un comportement, une tenue vestimentaire ou même une manière de penser jugée excessive, choquante ou déplacée. La vulgarité est un concept subjectif qui dépend fortement des normes culturelles, sociales et historiques en vigueur.
Dans le langage, la vulgarité se manifeste par l’usage de mots crus, d’injures, d’expressions triviales ou provocantes. Certains termes considérés comme familiers ou populaires dans un contexte donné peuvent être perçus comme vulgaires dans un autre. L’usage de la grossièreté peut être intentionnel, pour provoquer ou affirmer une attitude rebelle, mais aussi involontaire, simplement par habitude ou par manque de filtre social. L’acceptation ou le rejet de la vulgarité dans le langage varie selon les milieux et les générations.
La vulgarité dans le comportement est souvent associée à un manque de retenue, une attitude bruyante, exubérante ou impolie. Une personne qui parle trop fort en public, qui adopte des gestes trop démonstratifs ou qui manque de courtoisie peut être qualifiée de vulgaire. Cela peut aussi concerner une posture provocante ou une manière d’interagir avec les autres de façon déplacée, sans égard pour les conventions sociales.
Sur le plan vestimentaire, la vulgarité est généralement perçue à travers des choix jugés excessifs ou ostentatoires. Des vêtements trop moulants, trop courts, trop voyants ou trop tape-à-l'œil peuvent être considérés comme vulgaires selon les normes esthétiques d’une époque ou d’une société donnée. Là encore, il s’agit d’un jugement subjectif qui reflète les attentes sociales et les évolutions culturelles concernant l’apparence et la féminité ou la masculinité.
La perception de la vulgarité évolue avec le temps et les contextes culturels. Ce qui était autrefois considéré comme vulgaire peut devenir acceptable, voire à la mode. Par exemple, certaines expressions ou styles vestimentaires autrefois jugés inappropriés sont aujourd’hui largement adoptés et normalisés. À l’inverse, certains comportements qui semblaient anodins dans le passé peuvent être aujourd’hui perçus comme inappropriés, notamment en raison de l’évolution des sensibilités et des mouvements sociaux.
Enfin, la vulgarité est souvent associée à une opposition entre classes sociales et à des jugements de valeur. Elle est parfois utilisée pour discréditer ou rabaisser des personnes considérées comme issues d’un milieu moins éduqué ou raffiné. Toutefois, certaines personnalités publiques ou artistes revendiquent la vulgarité comme une forme d’expression, un moyen de transgresser les normes et de défier l’élitisme culturel. Cela montre que la vulgarité, loin d’être une notion figée, est une construction sociale en constante évolution, oscillant entre rejet et revendication.
Dans le langage, la vulgarité se manifeste par l’usage de mots crus, d’injures, d’expressions triviales ou provocantes. Certains termes considérés comme familiers ou populaires dans un contexte donné peuvent être perçus comme vulgaires dans un autre. L’usage de la grossièreté peut être intentionnel, pour provoquer ou affirmer une attitude rebelle, mais aussi involontaire, simplement par habitude ou par manque de filtre social. L’acceptation ou le rejet de la vulgarité dans le langage varie selon les milieux et les générations.
La vulgarité dans le comportement est souvent associée à un manque de retenue, une attitude bruyante, exubérante ou impolie. Une personne qui parle trop fort en public, qui adopte des gestes trop démonstratifs ou qui manque de courtoisie peut être qualifiée de vulgaire. Cela peut aussi concerner une posture provocante ou une manière d’interagir avec les autres de façon déplacée, sans égard pour les conventions sociales.
Sur le plan vestimentaire, la vulgarité est généralement perçue à travers des choix jugés excessifs ou ostentatoires. Des vêtements trop moulants, trop courts, trop voyants ou trop tape-à-l'œil peuvent être considérés comme vulgaires selon les normes esthétiques d’une époque ou d’une société donnée. Là encore, il s’agit d’un jugement subjectif qui reflète les attentes sociales et les évolutions culturelles concernant l’apparence et la féminité ou la masculinité.
La perception de la vulgarité évolue avec le temps et les contextes culturels. Ce qui était autrefois considéré comme vulgaire peut devenir acceptable, voire à la mode. Par exemple, certaines expressions ou styles vestimentaires autrefois jugés inappropriés sont aujourd’hui largement adoptés et normalisés. À l’inverse, certains comportements qui semblaient anodins dans le passé peuvent être aujourd’hui perçus comme inappropriés, notamment en raison de l’évolution des sensibilités et des mouvements sociaux.
Enfin, la vulgarité est souvent associée à une opposition entre classes sociales et à des jugements de valeur. Elle est parfois utilisée pour discréditer ou rabaisser des personnes considérées comme issues d’un milieu moins éduqué ou raffiné. Toutefois, certaines personnalités publiques ou artistes revendiquent la vulgarité comme une forme d’expression, un moyen de transgresser les normes et de défier l’élitisme culturel. Cela montre que la vulgarité, loin d’être une notion figée, est une construction sociale en constante évolution, oscillant entre rejet et revendication.